L'homme/la femme derrière FinFactor : Stefan Germeau

FF : "Quand as-tu commencé chez FinFactor et pourquoi ?"

"J'ai commencé chez FinFactor en novembre 2024, ce qui fait de moi le "benjamin" parmi mes collègues — du moins en termes d'ancienneté, pas d'âge.

Durant mes années en tant que banquier privé dans la région de Louvain, j'ai régulièrement croisé des clients de FinFactor, et ce qui m'a frappé, c'était leur satisfaction manifeste tant à l'égard du service que des résultats d'investissement. Cela a éveillé ma curiosité.

Quand j'ai vu en septembre de l'année dernière que FinFactor recherchait un gestionnaire de patrimoine pour le Brabant flamand, j'ai pris contact et j'ai eu un premier entretien avec Gunter. Cet entretien n'a fait qu'accroître mon enthousiasme à l'idée de mieux connaître l'organisation. Lors d'un deuxième entretien, j'ai rencontré les associés et ce fut une évidence : ce sont tous des personnes professionnelles et agréables. De plus, j'avais entre-temps une idée claire de leur méthode de travail, à savoir réfléchie, transparente et conséquente, ainsi que des excellents résultats d'investissement.

À ce moment-là, j'avais plusieurs options auprès d'autres acteurs importants. J'ai pris très consciemment le temps de tout comparer minutieusement. FinFactor s'est démarqué pour moi, et aujourd'hui, je suis extrêmement heureux de ce choix !"

FF : "Qu'est-ce qui est vraiment important pour toi ?"

"Le plus important dans la vie, ce sont les contacts personnels : famille, amis, clients et collègues. Finalement, en tant que gestionnaires de patrimoine, nous passons souvent plus de temps avec nos collègues et nos clients qu'avec notre propre famille et nos amis. C'est pourquoi, chez nous, ce n'est pas seulement l'aspect financier qui est central, mais surtout l'humain derrière le patrimoine.

Notre rôle va bien au-delà des chiffres et des rendements. Bien sûr, nous visons d'excellents résultats d'investissement et une constitution de patrimoine réfléchie, mais ce qui nous motive vraiment, c'est la confiance profonde que nous établissons avec nos clients. Nous écoutons, nous réfléchissons avec eux et nous veillons à ce que chaque stratégie corresponde parfaitement à leurs souhaits et à leur profil de risque. Cela n'est possible qu'avec une communication ouverte, honnête et mutuelle.

De plus, le travail d'équipe est crucial. Ensemble avec nos collègues, nous formons un réseau soudé d'expertise et d'engagement, afin de pouvoir offrir le meilleur service à nos clients. La gestion de patrimoine n'est pas une matière purement technique, c'est avant tout un 'people business' – et c'est ce qui rend le travail non seulement passionnant, mais aussi extrêmement précieux et enrichissant."

FF : "Quelle est ta devise préférée ?"

"J'ai repris la devise de ma grand-mère : "Fais le bien et ne regarde pas en arrière." Ce principe correspond parfaitement à la valeur fondamentale des clubs de service, souvent résumée par "Le service avant soi".

L'essence de cela est que les obligations et l'attention portée aux autres pèsent plus lourd que les désirs ou les intérêts purement personnels. Il est gratifiant de signifier quelque chose pour les autres sans attendre immédiatement quelque chose en retour. Cela vaut aussi bien dans ma vie professionnelle que privée et dans mon engagement au sein du club de service dont je fais partie."

FF : "Qu'est-ce qui t'inquiète le plus ?"

"Pour moi, il s'agit surtout de l'avenir de la prochaine génération. Ils grandissent dans un monde qui évolue très rapidement et qui est plein de défis complexes : changement climatique, perte de biodiversité, inégalités croissantes et tensions géopolitiques qui mettent notre économie et notre société sous pression. Cela engendre des incertitudes, non seulement quant au leadership des dirigeants mondiaux et à la stabilité, mais aussi quant aux opportunités et à la qualité de vie des jeunes de demain.

Pourtant, je reste optimiste. L'histoire montre maintes et maintes fois que le progrès naît des défis. Des innovations révolutionnaires aux solutions créatives pour des problèmes apparemment insolubles, l'humanité a toujours trouvé un moyen de s'adapter. Je crois fermement en la créativité et la résilience de la jeune génération. Elle surmontera non seulement les obstacles d'aujourd'hui, mais créera également de nouvelles opportunités que nous ne pouvons même pas imaginer aujourd'hui."