L'homme/la femme derrière FinFactor : Gunter Hanefstingels

FF : "Quand as-tu commencé chez FF et pourquoi ?"

"J'ai cofondé FinFactor parce que je trouve important de pouvoir donner à chacun un conseil honnête et indépendant. Je veux participer à l'élaboration de leur portefeuille afin qu'il corresponde parfaitement à leurs besoins. Cela semble la chose la plus normale au monde, mais c'est progressivement devenu une utopie dans la plupart des banques - où les gens sont constamment sous pression pour atteindre des objectifs. Entre-temps, nous avons tous ensemble déjà parcouru un très beau chemin et nous avons récemment dépassé le cap des 700 millions d'euros d'actifs, de quoi être fier."

FF : "Quels sont tes centres d'intérêt ?"

"Avec mon fils, je collectionne des accessoires de cinéma. Ce sont des répliques d'objets qui ont été utilisés dans des films. Par exemple, nous avons un buste d'Iron Man, la batte de baseball d'Harley Quinn et un masque d'un film Batman. Nous collectionnons uniquement des objets grandeur nature et donc pas de miniatures, ce qui rend la recherche plus difficile mais aussi d'autant plus agréable lorsque nous trouvons quelque chose d'original."

FF : "Arrives-tu à éteindre ton téléphone pendant une journée ?"

"Quand je suis en vacances - et que tout le monde est prévenu - alors j'y arrive parce que je sais que mes collègues assurent le soutien nécessaire. Mais en dehors de cela, je trouve important d'être toujours joignable et je pense aussi que mes clients apprécient cela. Répondre personnellement aux gens et résoudre les problèmes le plus rapidement possible n'est plus une évidence de nos jours. Le service est quelque chose qu'on ne peut pas quantifier en pourcentage, ce n'est pas tangible, mais je pense que cela a une grande valeur et gagne en importance, surtout dans un monde numérique où l'on doit de plus en plus tout faire soi-même."

FF : "Quel est ton meilleur investissement ?"

"On ne peut pas vraiment appeler cela un investissement, mais mes deux enfants sont mes principaux "actifs". J'essaie de passer le plus de temps possible avec eux et de les préparer au mieux à leur vie future. À travers des anecdotes sur ma propre jeunesse, j'espère qu'ils ne referont pas certaines erreurs que j'ai commises. Nous sommes une famille unie et essayons de faire le plus de choses possible ensemble. Plus les enfants grandissent, plus c'est difficile, mais le week-end, nous essayons toujours de prévoir un moment en famille. Financièrement parlant, c'était l'achat de ma première maison dans le centre de Malines à la fin des années 90. Malines était alors une ville délabrée et peu sûre, mais grâce à la revalorisation de la ville, j'ai pu réaliser une belle plus-value, ce qui nous a donné un peu plus de possibilités pour aménager notre nouvelle maison."